mercredi 2 janvier 2008

Accomodations raisonnables

Au cours de l’été 2007, dès 17h00 la rue Saint-jean est fermée à la circulation automobile et j’attendais mon épouse en regardant les passants. J’aperçois un musulman avec son épouse le suivant plusieurs pieds en arrière. Ils avaient réellement l’air hors contexte, l’épouse se sentait mal à l’aise avec tous les regards en leur direction, elle perdait un peu de terrain avec son époux. elui-ci se retrouna et l’engueula (du moins par ses gestes et manières car je ne parle pas leur langue), elle s’avanca rapidement, les yeux et la tête baissée en position soumise. Personne ne dit rien, et plusieurs regardaient.

Plus de six mois plus tard, je me demande encore si ce n’était pas un acte pour faire réagir, tellement que cela avait l’air hors contexte. C’était avant les débats sur le sujet des accomodations. Cette musulmane, que pensait-elle de toutes ces gens qui la regardaient ? pas nécessairement elle, mais plutôt son (?$/?$) de mari. Peut-être par nos regards et son endoctrinement envers nous, elle avait peur. Nous tous, sur la rue avait pitié d’elle et ne savait quoi faire. Si aurait s’agit d’un homme battant sa femme, tous auraient réagis, mais là que faire sans se faire traiter d’intolérants envers d’autres cultures.

La prochaine fois, je réagirai certainement en lui disant qu’Allah le jugera durement pour être un mâle chauvinisme et qu’il ne doit certainement ne pas être un musulman. Comment puis-je dire une telle chose ? Parce je ne pense pas que les musulmans agissent habituellement de la sorte, du moins pas ceux que j’ai rencontré.

Pourtant lorsque l’on parle d’accomodements raisonnables, cet événement me revient toujours à l’esprit. Maudit que l’on est mal fait, on se souvient toujoirs des points négatifs (seulement les mauvaises nouvelles se vendent).
Cela doit être parce que nos cerveaux sont mal branché.
Pourquoi en vouloir à ce musulman, si lui aussi est mal connecté ?

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